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Nécrologie

Nécrologie
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25 juillet 2008

Voilà, c'est terminé. Je t'ai dit adieu parce que

Voilà, c'est terminé. Je t'ai dit adieu parce que sinon je ne m'en sortirai pas. Je n'ai plus de raison de te parler ça y est. Je suis effondrée mais soulagée d'un côté.

Plus besoin de subir ces élans de "tendresse" que tu pouvais avoir, ces mots qui n'avaient rien à faire dans nos conversation. Je te laisse vivre ta vie, maintenant que tu sais, je vivrai la mienne. Tant pis si ce n'est pas celle que je voulais.

Je n'attendais rien de toi, je ne sais pas si tu l'as compris. Je n'ai pas pu te dire tout ce que j'aurai voulu mais tant pis. Tu as pleuré, ça me brise le cœur. Ce regard triste que j'ai pu voir auparavant a refait surface, ça me perturbe. Je t'en pris, jette les photos de moi que tu as pu garder.

Pourquoi ne veux-tu pas que je te rende les bijoux ? Pourquoi ne voulais-tu pas reprendre les lettres ? Qu'est-ce que j'en aurai fait moi ? Tu sauras mieux que moi ce qu'il faut en faire.

Tu n'as pas réussi à me persuader. Tous ces mots qui sonnaient tellement faux, tous ces mots comme pour t'excuser de ne pas avoir le courage. Je les oublierai un jour. Continue de laisser tes rêves de côté. Je suis triste pour toi. Arrête de tout refouler.

Tu prends de mes nouvelles "malgré toi", mais tu connaissais quand même parfaitement son nom... Pourquoi je n'arrive pas à te croire ? J'aimerai, vraiment, ça me ferait avancer. Mais je ne te crois pas.

 

Même la dernière fois qu'on se voyait tu n'as pas su être franc. Ce que j'ai pu te dire est vrai et le sera encore quelques temps j'en ai bien peur. Mais c'est ainsi. Tu sais ce que tu peux faire. Moi je ne sais plus quoi faire.

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23 juillet 2008

On se voit, on se voit plus, finalement si et

On se voit, on se voit plus, finalement si et puis non. J'ai piqué ma crise, la Nième et cette fois-ci tu as répondu. On a échangé quelques mail, ça fait du bien de pouvoir de nouveau "discuter" même si ça ne fait pas avancer les choses.

J'ai le sentiment qu'il y a encore quelque chose qui passe entre nous. Mais tout est mis en péril. Tu as trouvé mieux ? Moi non, pas encore du moins. Je crois que je n'espère pas mieux en fait. Il y a des moment où ça va, et d'autre où je replonge, j'envoie tout valser. C'est signe que j'ai sûrement toujours des sentiments pour toi. Malheureusement ils ne sont pas partagés, il faut que je me rentre ça dans le crâne. A quoi servirait une déclaration enflammée si ce n'est de retomber encore plus bas. Si au moins j'étais sûre de remonter ensuite, mais non. Le risque est trop grand, mon cœur est trop fragile. Quelqu'un a dit que le plus grand risque dans la vie était de ne pas en prendre. Alors que faire ?

On devrait se voir bientôt, demain peut être si tu ne me fais pas faux bond une nouvelle fois. Sinon je mettrai mes menaces à exécution. J'irai chez toi quitte à la croiser, je m'en moque de cette souffrance là.

Je ne comprends pas tes paroles. Tu es si paradoxal. Certains de tes mots sont tellement inappropriés à la situation dans laquelle nous sommes, tu es engagé ailleurs. Mais quand ta voix tremble au téléphone et que tu me dis n'avoir pas le courage de me répondre, ça me donne une espèce d'espoir vain. Qu'est-ce que tu cherches ? Il reste quelque chose en toi que je pourrai raviver ?
Je ne devrais pas interpréter tout ça. Mais je me dis que si ça te mets dans cet état c'est qu'il y a encore de l'espoir à avoir. Sinon tu n'aurai pas retardé tant les choses, me dire adieu serait facile.

11 juillet 2008

Je suis rentrée à Senlis, je vis près de chez toi

Je suis rentrée à Senlis, je vis près de chez toi pendant un mois. Je n'arrive pas à m'empêcher de regarder les plaques d'immatriculation des voitures qui passent, espérant au fond de moi qu'une d'elle sera la tienne. Je fais des cauchemars toutes les nuits, où tu y tiens ton rôle à merveille. Ton rôle de méchant, de lâche.

J'ai essayé de te contacter plusieurs fois. Seul un sms "ce soir" t'as fait réagir. Tu as même rappelé. Comme je le dis si bien : "un miracle est si vite arrivé". On devrait se voir la semaine prochaine pour s'échanger le reste de nos affaires. Tu as dit que tu avais des écrits à me donner, mais comme je t'ai répondu, après 3 ans et le temps qui s'est écoulé depuis notre rupture, je pense qu'une discussion comme tu en voulais il y a quelques semaines serait la bienvenue.

Ta voix s'est serrée à ce moment là. Je t'ai demandé pourquoi tu ne répondais jamais à mes messages, pourquoi tu ne rappellais pas malgré tes promesses. Tu as répondu que tu n'en avais pas le courage. Mais je ne vois pas de quel courage tu parles. Aurais-tu peur du point que cela mettra définitivement à notre histoire ? J'en doute, tu vis une nouvelle vie dans laquelle je n'ai pas ma place. Alors qu'est-ce que cela signifie ? Je ne te demande rien même si j'ai au fond de moi encore beaucoup de rêves. Je te laisse, vivre ta vie. Ce que j'en pense je ne le dis pas, ce n'est plus mon affaire.

Nos conversations sont toujours si étranges. Comme si un lien persistait, comme si nous criions en silence notre envie d'être ensemble, de parler de tout cela sans en prendre l'initiative ni l'un ni l'autre. Je n'ai pas dormi cette nuit tant ça m'a tracassée. Qu'est-ce qu'il y a au fond de toi que tu ne peux me dire ? Je meurs d'envie de le savoir, je crois que j'ai besoin de le savoir, que tu dois me le dire. Tu ne peux pas laisser des suspensions comme ça tout le temps, alors que tu ne fais rien à côté.

15 juin 2008

Petit coup de nostalgie alors qu'on se rapproche

Petit coup de nostalgie alors qu'on se rapproche de plus en plus de la date à laquelle on devait se fiancer. Tu ne l'as sûrement pas toi. Je suis rentrée à Chantilly avec des affaires à te rendre mais pas de nouvelles de ta part. Le dernier échange sera pour le mois de juillet. J'appréhende un peu de te croiser en ville alors que tu ne donnes aucun signe de vie. C'est dommage. Aujourd'hui je nous verrai bien garder contact de temps en temps mais tu n'as jamais fonctionné comme ça contrairement à moi. 3 ans c'est pas rien pourtant quand on en a 20 mais tant pis.

12 mai 2008

Ca y est, j'ai du insister mais j'ai récupéré mes

Ca y est, j'ai du insister mais j'ai récupéré mes affaires. Mon cœur battait quand tu es arrivé, quand tu m'as appelée. Te faire la bise, s'était pas naturel. Tu as toujours d'aussi beaux yeux, mais tu ne me plais plus. Tu n'as pas changé, toujours effacé, incapable de choisir par toi même ce que tu as envie de faire ou non. A mentir.

J'étais déçue que tu n'aies pas le temps de me parler. Mais c'est comme ça, elle t'attendais et comme tu n'as pas été foutu de t'imposer pour prendre du temps pour moi. Tant pis. Je pense que c'est trop tard maintenant. A force de me refuser cette conversation, je suis passée au dessus. Non pas que je ne veuille plus l'avoir, mais je n'en ai peut être plus besoin pour avancer. Parce que maintenant tout a changé. Mon cœur commence à battre pour un autre. Tu as laissé filer tout ce qu'il restait.

Attendre, toujours attendre. Elle doit être bien peu sûre d'elle ou de toi, pour refuser que tu puisses me parler. Tu as dit que tu m'appellerai, je n'y crois pas. Tu as eu tellement d'occasion de prendre des nouvelles, tu ne l'as pas fait au bon moment. "Tu as quelqu'un d'autre ?" m'as-tu demandé. Non je n'ai pas quelqu'un D'AUTRE. J'en au un. Ce n'est pas toi, il ne s'ajoute pas à toi. Etait-ce une parole manquée ? Un signe de quoi que ce soit ? Ou simplement une phrase bateau comme tu m'en sors à chaque fois ? Je m'en fous en fait. Je suis heureuse ailleurs.

Oui je l'aimerai cette conversation, mais elle n'aurait plus vraiment de sens, si ? Maintenant que nous faisons nos vies chacun de notre côté et que tu n'es pas foutu de donner le moindre signe. Je pense qu'elle serait peut être bénéfique, mais plus indispensable. Tu auras eu ce que tu voulais. L'éviter, attendre que je passe à autre chose. Tu as fui encore une fois.

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27 avril 2008

Deux jours sans porter ces bagues que j'avais

Deux jours sans porter ces bagues que j'avais depuis 3 ans. Une petite victoire, mai une victoire quand même. Plus que le symbole, c'est l'absence de quelque chose aux doigts qui est dure à supporter. Finalement, je suis peut être sur la voie de la guérison. Ca fait également deux semaines que je n'ai pas eu de tes nouvelles je crois ; et curieusement ça ne me manque pas, je ne crève plus d'envie de t'appeler à chaque heure du jour ou de la nuit. Je suis fière de ça.

18 avril 2008

J'ai trouvé un appartement. C'est étonnant, et je

J'ai trouvé un appartement. C'est étonnant, et je ne me réjouis pas trop vite, mais quand je pense à toi depuis quelques jours je n'ai pas ce brin de nostalgie habituel. Peut-être est-ce parce que mes projets sans toi se concrétisent ? En tout cas c'est agréable cette sensation d'indifférence presque. Quand j'ai pris cet appartement, je ne nous ai pas vu y passant de bons moments. Ce sera chez moi, un endroit sans souvenir de toi, le territoire neutre que je recherchait tant !

14 avril 2008

Comme je m'en doutais, elle vit chez toi. Je me

Comme je m'en doutais, elle vit chez toi. Je me demande comment tes parents font pour accepter cela mais vu sa situation ça peut aussi se comprendre. Ca me fait mal. Je n'ai pas fait les bons choix aux bons moments et nos projets sont devenus vos projets alors que nous avons passés 3 ans ensemble et que votre relation est récente. Mais elle t'avait mis le grappin dessus depuis longtemps, et finalement ce n'était peut être pas moi ton grand amour, la femme de ta vie. Je suis brisée et je m'en veux. Après tout ce que tu me fais vivre, comment puis-je encore écrire des âneries pareilles ?! Non tu ne m'aimes plus, est-ce que moi je t'aime toujours ? Celui que je connais depuis ces derniers moi, non je ne l'aime pas. C'est un souvenir que j'aime encore. Un souvenir auquel je donne encore beaucoup trop d'importance.

13 avril 2008

Parfois je me demande si tu ne compliques pas les

Parfois je me demande si tu ne compliques pas les choses parce que tu sais que tout sera alors terminé et que nous serons perdus. D'abord la discussion que j'attends toujours (les 6 semaines s'était maintenant), et ensuite les affaires.

11 avril 2008

Finalement non. Je suis déçue : j'essaye de tout

Finalement non. Je suis déçue : j'essaye de tout faire pour qu'on trouve un créneau mais c'est impossible. Elle n'a pas à passer après moi mais tout de même, tu savais et tu ne peux même pas te libérer 1 heure, ou elle, m'apercevoir quelques minutes. De quoi elle a peur pour t'interdire de m'envoyer un texto ? Je suis en colère car je n'ai pas l'impression de demander grand chose, et parce que le travail que j'avais fait sur moi pour me préparer à te voir n'aura servi à rien. Je me demande bien ce que tu vas lui dire en mai pour lui cacher que tu vas me voir pour me rendre mes affaires, et peut être boire un verre puisqu'à priori du as envie qu'on bavarde un peu. C'est vrai qu'on a des choses à se dire depuis 3 mois, enfin cela fera 4 à ce moment là. Je rêve : je fais ma jalouse. En fait non, je suis déçue parce que j'aurai presque imaginé qu'on aurait pu devenir amis mais elle ne veut visiblement pas qu'on soient en contact donc c'est raté. Ca me rend triste parce que si nous ne pouvons plus nous aimer, nous aurions quand même pu continuer à nous voir tout simplement.

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